Descriptif:C'est en constatant le mal déferler sur le monde et le détruire qu'une philosophie de pensée plutôt drastique mais naturelle vue le jour. Le cercle de l'absolu considère l'Éther comme un mal dont le monde doit être purgé. Les preuves sont là: un continent dévasté, des hordes de monstres jaillissant de la brume qui s'attaquent à tout êtres vivants et un chamboulement dans l'ordre divin avec l'arrivée de la magie. Ses membres croient que l'apparition de la magie et de ses forces qui rivalisent les pouvoirs divins attribués aux hommes de foi est un bouleversement dans l'ordre divin. Suite au regroupement d'hommes et de femmes ayant tout perdu lors du grand cataclysme, le cercle se forma dans une citadelle en ruine et la reconstruit rapidement, formant un bastion fort contre toutes forces de l'Éther. Celui-ci se veut un lieu de refuge et de salut pour l'humanité et un pied à terre afin de consolider ses forces contre un mal commun tout en rebâtissant ce qui fût perdu jadis.
Relation avec l'Éther: Mauvaise
La plupart des ancêtres des membres de ce cercle figurent parmi ceux ayant été aux premières loges de l'âge d'or de l'humanité et au sommet de ses accomplissements. De génération en génération ils ont vanté les accomplissements de ce que les leurs ont bâti jadis et en contrepartie, pleurés ce dont ils ont perdu lorsque l'énorme vague meurtrière déferla sur ce qu'on qualifiait de chef-d’œuvre. Ils ont une rancœur profonde contre l'intangible mort qui plane en ce monde depuis d'innombrables décennies et c'est pour cette raison que la « plupart » des gens vivant sous la tutelle de ce cercle ne verrons jamais aucun bénéfice à l'Éther.
Leurs efforts sont concentrés à tenter de purger le monde de cette abomination, protéger l'humanité des griffes de l'Éther et à restaurer la grandeur des temps anciens où les divinités resplendissaient et où les suppôts du brouillard n'existaient pas.
La nostalgie des temps anciens et de l'âge d'or de l'humanité est présente chez plusieurs d'entre eux et tout les moyens sont bons afin de retourner à une stabilité et une ère où les prochaines générations pourront explorer le monde sans soucis et tracas.
Ville:Edolas (La Pure, La Cité Blanche)
À des miles au loin sur les terres de Solsora, on peut généralement apercevoir au-delà d'une chaîne de montagne spécifique le pignon de la fameuse cathédrale d'Edolas, la grande cité blanche. Reflet de l'architecture de l'âge d'or perdu, cette cité ayant abritée les survivants du déferlement n'a pas toujours eut ses allures resplendissantes pour lesquelles elle est tant connue à ce jour. Cette magnifique cité aux pierres d'un blanc pure et serein est construite sur les eaux d'une baie naturellement protégée par sa chaîne de montagnes escarpée. Hors, l'histoire de cette dédicace à un monde disparu est parsemée d’embûches et de décisions difficiles pour la fierté de ses citoyens.
Le pèlerinage et ses embûches
Les débuts d'Edolas prirent un semblant de racines à l'époque où les dirigeants des grandes cités étaient en quête d'asile avec une parcelle de leurs citoyens sous leur aile. Hommes religieux et de conviction, ils prêchaient les paroles de Sol dans le but de puiser dans la fierté des survivants afin de les conditionner à surmonter ces temps de crise. Les Humanis suivirent sans broncher, déterminés à rebâtir ce qu'ils avaient perdu et faire perdurer leurs lignées et leur foi. Les Fae'Sindar quant à eux remettaient en question leurs décisions et même celles de leur dieu Sol. Le sentiment d'abandon face à la situation dans laquelle Sol les avait délaissé était ressenti chez les Faeling, peuple qui était libre d'expression depuis déjà quelques générations. Une justice féroce était demandée envers Sol et seule Vehl'Oress pouvait laisser tomber le marteau afin de punir l'acte de les avoir mit dans cette situation précaire. Le tout n'était pas digne d'une divinité d'abandonner ses fidèles de la sorte et les opinions divergentes mêlées à la famine des temps difficiles déclenchèrent tôt ou tard un scindement dans la population des survivants.
Sur ces relations déjà chambranlantes, les miraculés du cataclysme atterrirent entre les ruines bien dégarnies d'un bastion de retraite désaffecté. Situé entre les abords de la mer et une chaîne de montagnes, ils avaient trouvé un endroit établi sur des fondations naturelles qui les favoriserait de manière défensive suffisamment longtemps pour se remettre sur pied. Le siège entre les dévots des dieux et les monstruosités de l'Éther s’entama alors que le moral était la principale ressource précieuse permettant aux survivants de garder ne serait-ce qu'un soupçon d'espoir. Tel des rats piégés dans un cul-de-sac, les travaux et efforts mis en branle pour la protection contre l'envahisseur étaient le seul fruit d'un labeur désespéré en raison de leur manque de temps et d'effectifs. Toujours aux aguets, ils se battaient jours et nuits dans de brèves escarmouches afin de tenir la menace hors de porté d'exercer ses plans sinistres. Les barricades duraient le temps d'une attaque et tandis qu'on soignaient les blessés d'une toute nouvelle bataille, les ouvriers de fortune remettaient en place une nouvelle défense éphémère construite de vieux meubles et de portes qu'on arrachaient de leurs pentures.
La Peste d'Éthernas
Dans cette situation désastreuse, l'espoir commençait à se dissiper petit à petit. Les vivres diminuaient au cœur du bastion et aucune percée n'avait encore été faite afin de permettre une sortie de ravitaillement efficace. Une maladie quant à elle se propageait alors que certains réfugiés arrivaient de l'extérieur et se mêlaient à la population. Une exposition prolongée au brouillard avait développé chez ceux-ci une maladie respiratoire préoccupante. Les dernières gouttes du moral de la population s'évaporèrent et on assista à la naissance de la fameuse vague historique de la peste d'Éthernas.
De là, des lazarets de fortune se créèrent et éventuellement des zones d'isolations autour de ces bâtiments prévu pour les malades naissaient. Ces zones se développèrent en un quartier avec l'envergure dont la peste prit et avec les années ce dit quartier fini par être connu sous le nom du quartier d'Éthernas. Ce dernier demeure toujours le stigmate d'une époque dure pour les citoyens d'Edolas et avec raison. Encore de nos jours ceux affectés par les maladies, les pauvres et les malfrats s'y agglutinent. Que ce soit par choix ou bien car il y sont confinés par le diocèse dans le but de « trier la population » de ce dont ils ne sont pas fiers, l'endroit demeure l'image d'une époque sinistre pour la cité blanche. En considérant son histoire, on peut facilement comprendre pourquoi à notre époque les gens d'Edolas sont si réticent face aux habitants des bas quartiers ou même lorsque ceux-ci atterrissent malencontreusement dans une simple discussion. Autour du quartier se développa toutefois avec les décennies une cité aux beautés incomparables. Elle est à l'effigie de la grandeur des dieux et de la pureté de l'humanité destinée à combattre le fléau du monde mais sa construction ne se fit pas sans aide de l'extérieur.
L'ascension
Alors que les survivants joignaient le bastion de l'humanité jour après jour, les autorités n'étaient pas friands à l'idée de voir l'espace et les provisions diminuer avec en prime une peste au cœur du refuge. Les dirigeants épluchaient les options et le seul espoir pointait vers une sortie de force aux pertes potentiellement énormes. Qui disait moins de bouches à nourrir disait moins de vivres consommés sur une période de temps prolongée et l'option bien que cruelle semblait la plus raisonnable pour la survie du bastion. Les préparatifs battaient bon train. Les soldats étaient motivés par leur cause noble et les chants liturgique retentissaient afin d'inspirer ceux prédestinés à mourir pour le salut de l'humanité. Ils étaient prêts à remettre leurs vies entre les mains de leurs dieux et s'étaient armés d'une volonté admirable. Et c'est alors que vînt le miracle.
Aux portes fortifiées cognaient des hommes et femmes aux allures marchandes. Transportant vivres, ressources, outils et objets de toutes sortes, leur présence fût acclamée par tous et chacun mais surtout de par les dirigeants désespérés. Invités à s’asseoir avec le conseil décisionnel garnit des homme de foi et d'anciens rois de cités tombées, les commerçants offrirent un contrat qui allait changer à jamais la destiné d'Edolas. Détenant un nombre impressionnant d'artisans, d'architectes et de ressources de toutes sortes ils avaient entre les mains les dispositions afin de donner à cet endroit l'espace et l'aspect des cités d’antan propre aux survivants du bastion. À court d'idées, le conseil de l'époque accepta l'offre coûteuse. Avec le soutient des soldats d'Edolas à titre de protecteurs, les commerçants parvinrent à rapatrier les ressources et la main d’œuvre nécessaire afin d'ériger la plus belle cité que le monde de cette nouvelle ère ne pourrait jamais connaître. Des rizières et vergés furent semés alors qu'une architecture spécifiquement créée pour supporter une multitudes d'établissements au dessus des eaux de la baie fut conçu afin de rendre la vie à cet endroit aisée et auto-suffisante.
C'est une fois les travaux terminés que ses bâtisseurs reprirent le chemin au delà des murs avec en poche leur paiement. Certains disent qu'ils auraient récolté tout l'or dont les anciens rois présents avaient rapatriés de leurs anciens royaumes lors de leur fuite. D'autres, clament que la dette n'est toujours pas payée encore de nos jours et que le conseil se bât continuellement avec la descendance des anciens entrepreneurs à Croymery afin de reporter la dette de la cité. Quoi qu'il en soit, avec l'ultime cathédrale en tête de cette ville, Edolas resplendissait désormais des couleurs et allures inspirées des temps anciens. Elle redonna rapidement une fierté incontestée à ses hommes de foi et ceux affamés de voir le monde redevenir tel qu'il était autrefois. De nos jours Edolas est symbole d'endurance et de persévérance. Que malgré les embûches tout fini par venir à celui qui y croit et la foi envers les divinités est toujours récompensée malgré les temps sombres qui peuvent surplomber l'horizon.
Système Politique / Politique:Edolas est une ville principalement gouvernée par son système religieux ce qui fait de la sainte ville une théocratie. Un conseil des représentants religieux constitué d'évêques est en place depuis sa fondation. Celui-ci prend les décisions sur l'avenir de la cité blanche, sa prospérité et sur ses ambitions face à la menace de l'extérieur. On note principalement à la tête du conseil l’archevêque Cornelius Nicodemas, le représentant de Sol qui a tendance à trancher lors des décisions s'éternisant ou n'ayant pas une unanimité complète. Pour ce qui est du reste du conseil, il est représenté par les différents évêques religieux des différents cultes de dieux acceptés entre les murs de la cité. La cité est donc au final sujet aux préceptes des différentes divinités en place en ce qui attrait aux lois et codes de conduite en son enceinte.
La Pure est assez recluse sur elle-même en générale puisque les visiteurs sont en grande partie limités au bastion qui jadis servait d'abris aux réfugiés, tout à l'entrée de la ville. Le tout n'est pas par méprit mais bien par prudence du monde extérieur vue leur histoire du passé avec la peste. Les hauts quartiers opulents servent principalement à abriter le diocèse et son conseil mais aussi ceux ayant offert au joyau blanc une aide et compensation digne d'un permission d'y mettre les pieds. Cela dit, il arrive parfois de voir certains habitants de ces hauts quartiers accueillir leurs amis dignes de confiance à bras ouvert dans le simple but d'exposer la cité et ses beautés. Certains résidents ne peuvent après tout s'empêcher d'afficher la fierté qu'ils éprouvent envers Edolas.
La religion et le polythéisme
Étant principalement une cité qui baigne dans le polythéisme, on a toujours pu sentir une prédominance du dieu Sol entre les murs de la cité blanche et le tout avec raison. Ayant été fondée par de nombreux dirigeants d'anciens royaumes monothéistes centrés sur Sol, Edolas s'est vue développée avec ce genre de têtes dirigeantes lors de ses premiers pas dans le nouveau monde. Avec le temps et l'arrivée des réfugiés comptant principalement beaucoup de Faelings, la présence de plusieurs autres dieux était désormais beaucoup trop importante pour être ignorée. Les dogmes d'autres divinités planaient dans l'air, roulant sur la langue de plusieurs et le tout rendit les voies du monothéisme pour plusieurs anciens rois impossibles à conserver. Ou du moins, le tout serait plutôt difficile si ils désiraient toujours garder un peuple déjà sur le seuil de l'instabilité sous contrôle.
On note à ce jour plusieurs cultes religieux dans l'enceinte de la majestueuse cité. Certes encore une fois les symboles et éloges de Sol y sont très présents mais on compte aussi parmi les chapelles et autels dans la cité ceux de Dulcea, Velh'Oress, Espa, Myrhaïd, Ozrin et Rem'Niir. Le conseil des représentants religieux compte donc un évêque de chacun de ces dieux dans ses rangs et se fit à eux afin de donner une donne sur les cas et sujets d'actualité méritant une attention particulière. Bien que certains de ces dieux semblent jurer par moment avec les préceptes de Sol, le conseil a toujours su adapter leurs doctrines. Voyant ici et là dans les passages des diverses divinités des façons de voir le monde s'apparentant aux dogmes de Sol, ceux-ci sont souvent perçu comme une extension de sa volonté servant à leur façon la flamme purificatrice. Le tout étant dit, malgré leur bonne volonté à garder un environnement religieux saint tout en contrôlant la présence de cultes néfastes pouvant guider la population vers des propos hérétiques, il arrive parfois que des cultes secrets de dieux interdits s’infiltrent dans les recoins de la ville.
Les classes sociales
Il est difficile d'ignorer les différences flagrantes des statuts sociaux des citoyens lorsqu'on met le pied à Edolas. De par les habits, on peut remarquer qui semble appartenir à certains quartiers et cultes par un simple coup d’œil. Néanmoins, il va sans dire que certains ont déjà tenté le coup de revêtir des habits blancs à l'image des hauts quartiers pour se voir rapidement trahit par des taches de boues typiques des bas quartiers. En outre, les citoyens aspirent souvent à améliorer leur classe sociale afin d'accéder à une vie plus aisée et respectable. Revêtir de beaux habits propres, combler les besoins nécessaires afin de vivre une vie dans le confort et sans tracas. Ces quelques raisons sont en générales suffisantes pour pousser la fierté de plusieurs vers l'ascension des classes sociales et le tout vers le conseil en soit. Toutefois, la fierté de quelques rares individus prend une tournure différente et les maintient dans ces bas quartiers, motivés par de tout autres buts que le gain de rangs sociaux.
À l'origine, on note une forte population au sein de la cité blanche. Cette population s'arrache les miettes de pain dès sa naissance afin de s'extirper des bas quartiers. Ceux-ci sont en soit défavorisés, bâtis tout autour de l'ancienne zone de quarantaine autrefois utilisée afin de contenir la grande peste d'Éthernas. Ils accueillent tant les démunis, les malades et les rebuts coupables de crimes suffisamment légers pour éviter l'exile ou l'exécution. Il n'est pas rare de voir les destitués d'un poste être jetés avec leurs effets dans les bas quartiers. S'en suit généralement aux yeux de tous une bataille entre ces anciens membres du diocèse et une foule avare de s'enrichir des richesses d'un individu ayant joui d'un temps plus aisé avant son arrivé par simple méprit.
En ce qui attrait aux hauts quartiers, ils sont la fierté et l'émerveillement d'une ambition à voir le monde d'antan revenir à sa splendeur initiale. Arches blanches et bâtiments somptueux construits en surplomb de la majestueuse baie d'Edolas, ils sont accessible à ceux qui s'en montrent dignes de par leur dévouement envers le conseil mais surtout envers Sol, la pureté. Seul les grands dévots et ceux en mesure de servir la cité et son conseil en faisant preuve d'abnégation s'y voient donner l'accès. Que ce soit en faisant parti d'une des organisations du patrimoine d'Edolas ou en ayant donnés énormément de soit pour voir Edolas rayonner à sa juste valeur, ceux ayant montrés un désir de prospérité envers la cité se font accueillir dans le seul endroit en ce monde où l'esprit de l'âge d'or y règne encore.
Organisation: Le conseil religieux ne peut malheureusement pas renforcer son autorité envers le peuple ou contre les envahisseurs sans une main de fer qui saura mettre en branle sa détermination. C'est pourquoi, travaillant de près avec le conseil, le patrimoine d'Edolas tout entier appuis en tout temps les évêques prenant les décisions en faisant régner leur volonté. Ce patrimoine regroupe en somme touts individus ayant décidés d'occuper un titre jugé reconnu de par l'assemblée que représente le conseil religieux.Composé d'adeptes des voies divines, de chevaliers adoubés par un évêque et d'apprentis clercs à la recherche d'ouvertures vers le conseil, celui-ci s'est vue consolidé par ces hommes de foi dans un moment de crise. Alors que tous se rassemblèrent dans les ruines de la futur cité blanche, c'est eux qui inspirèrent les troupes et les hommes armés à se rassembler sous leurs convictions divines pour mener l'humanité vers son salut.
Au sein du Patrimoine d'Edolas on compte:
Le Diocèse de l'Astre: Il consiste en un corps religieux mais hautement militarisé. Il s'agit de la garde, la police et l'armée sous l'influence du conseil regroupant les évêques. Touts hommes et femmes souhaitant protéger les plus faibles des envahisseurs et faire respecter la loi mais surtout les préceptes de Sol dans la Pure est invités à joindre le Diocèse. Il représente le plus important nombre des membres en poste du Patrimoine d'Edolas puisque sans lui, les troupes seraient insuffisantes afin de protéger l'humanité elle-même. Jeune dévot en quête d'un nom pour tirer sa famille hors des bas quartiers ou aspirant évêque sur le chemin de l'acceptante et en besoin de faire ses preuves, les raisons pleuvent pour le simple citoyen d'Edolas afin de justifier une ambition à joindre le Diocèse.
Profès: Homme d'arme ayant tout juste prêté ses vœux religieux sous la supervision de certains membres du Diocèse. Il se voit sitôt assigné les tâches de la sécurité de la grande ville d'Edolas mais principalement ses hauts quartiers. Le profès est la sécurité lors des sermons à la cathédrale, l’œil aux aguets dans la Pure et le soldat lorsque les temps penchent vers la guerre. Il n'est pas rare lorsque le profès à fait ses vœux officiels en présence d'un des évêques de le voir supporter régulièrement ceux-ci lors de leurs messes et services dans des habits liturgiques.
Inquisiteur: Le corps du Diocèse. Il est un combattant aguerrit et une inspiration pour plusieurs en terme de dévouement et d'ambition. L'inquisiteur se voit accorder la tâche d'investiguer toutes traces de corruption tant entre les murs de la cité blanche que sur son territoire et de trouver des moyens afin d'éviter son existence ou du moins sa propagation. Il est l'incarnation de la pureté de Sol et agit tel la vision de l'être céleste pour le conseil afin de les informer de toutes formes de perversions que ce soit par l'Éther, la magie non sollicitée ou la présence de cultes néfastes. Entre temps, il est appelé à supporter et chapeauter les profès dans leur gain d'expérience en les guidant via conseils ou assistances tout en restant disponible comme homme de main en cas de guerre.
Prévôt: Le prévôt est un officier du patrimoine d'Edolas dont on attribue les tâches financières, juridiques et administratives du diocèse. Il fait la distribution des travaux disponibles et offerts par le conseil directement au peuple et gère les taxes des citoyens avec quelques profès sous sa joug. Le prévôt s'occupe également de traîner en procès les coupables d'infractions repêchés et amenés devant lui par les profès ou inquisiteurs. Ces accusés sont la majeur partie du temps jugés par le prévôt lui-même mais requiert parfois la présence d'un jury composé d'un ou plusieurs membres du conseil religieux dépendamment de la sévérité du crime. Finalement, le ou les prévôts en fonction sont des informateurs clés pour le capitaine du diocèse ainsi que pour le conseil religieux. Conseillés et sources d'informations sur les dernières actualités de la ville et de son territoire, ils assistent leurs supérieurs en apportant des notions qui simplifient la prise de décisions importantes. Le tout requiert alors de leur part d'utiliser les inquisiteurs et profès du diocèse afin de s'informer des dernières informations pertinentes du territoire à divulguer à leur capitaine et des problèmes qui font rage au cœur du patrimoine à remettre au conseil.
Capitaine: Le capitaine du diocèse est la personne en charge de l'ordre, la paix et la défense de l'humanité. Il est celui qui distribue et assigne ses effectifs là où ils se doivent d'être. Celui-ci évalue les circonstances et met ses hommes là où l'expertise est nécessaire. Il ne se gêne pas d'aller quérir les compétences d'une certaine organisation au cœur du patrimoine et de l'utiliser au nom d'Edolas afin de rétablir l'ordre qui se doit d'être. Assisté par les prévôts, le capitaine utilise l'information amenée à lui afin de concocter les stratagèmes les plus adéquats pour maintenir une paix dans le patrimoine. En faisant ainsi, ce dernier s'assure que tous et chacun puissent jouir d'une parcelle de l'âge d'or dont Edolas à réussi à recréer. Il est en lien direct avec le conseil religieux et exerce sa volonté martiale sur le reste d'Édolas et de ses citoyens. Que ce soit dans le diocèse ou chez les autres institutions du patrimoine, le capitaine est généralement la liaison la plus directe mis à part les prévôts que tous peuvent avoir avec le conseil s'ils n'ont pas été convoqués directement par celui-ci.
Évêque: Un évêque est un des membres du conseil religieux qui s'occupe des aspects divins et administratifs de la ville toute entière. Il est en charge de représenter le dieu dont il prie lors de messes et services et de guider les citoyens de la ville qui viennent le voir afin de trouver réponses par ses mots prêchés. Au conseil siège 6 évêques qui représentent chacune des divinités acceptées dans les chapelles et la cathédrale d'Edolas. Cette personne de foi est appelée à assister aux réunions du conseil afin d'administrer le patrimoine, superviser les cérémonies lorsque les profès exercent leurs vœux à leurs entrées au diocèse et créer l'ouverture de postes et travaux qui sont distribués par les prévôts. Ils tracent la ligne entre l'hérésie et le progrès dans le développement des expériences de l'ordre gris et ouvrent comme ils ferment les voies diplomatiques avec l'extérieur via des mandats distribués aux prévôts. Par le fait même, l'information que ces mandats produisent est par la suite jugée par le conseil et détermine les démarches à suivre en ce qui attrait aux conflits extérieurs qu'ils relèguent en bout de compte au capitaine. De par leur foi, les évêques démontrent la volonté de Sol par l'entremise de leur dieu respectif et adaptent leurs dogmes dans le but de montrer au peuple qu'au travers leur divinité, Sol cherche aussi à les guider vers leur salut.
Archevêque: L'archevêque Cornelius Nicodemas est le saint représentant de Sol en Edolas. Il est l'élu et la voix de l'astre pure et siège à la tête du conseil religieux du patrimoine d'Edolas. Il tranche en cas d'égalité des votes du conseil et s'assure que même parmi celui-ci, aucune hérésie et déviation de la volonté de Sol ne soient constatées ou même présagées. Il a les même fonctions qu'un évêque en ce qui attrait aux messes, distributions des rôles et de travaux ainsi qu'en ce qui concerne à la prise de décision pour le patrimoine tout entier. Il s’acquitte néanmoins lorsqu'un nouvel évêque doit être nommé de la tâche ultime de s'assurer que ses lignes de pensées liturgiques coïncident avec le reste du conseil mais surtout avec celles de Sol. Advenant qu'un de ses membres ai reçu des votes de non confiance, il est celui qui prend la décision finale d'expulser ou non un évêque de ses fonctions.
L'Ordre Gris: Alors que les plus pieux crachaient sur l'apparition et l'existence de la magie dans la cité blanche, d'autres finirent par voir avec le temps cette apparition comme un outil à retourner contre les forces de l'Éther. Longtemps fût un temps où les nouveaux nés dotés de prédispositions arcaniques étaient vus comme une malédiction et donnés au diocèse pour d'être purifiés. Ce n'est qu'avec l'arrivée de certains évêques que ces nouveaux « atouts » prirent tout leur sens. Une utilité propre leur fût trouvée malgré le mécontentement de plusieurs qui assistaient à la création de ce mouvement, le jugeant sous un mauvais œil. L'Ordre Gris est un rassemblement de mages s'étant dévoués à leur patrimoine et divinités et n'ayant pas poursuivi les voies arcaniques pour un gain égoïste de pouvoir mais plutôt pour servir le conseil et ses dessins.
Orphelins ayant des dons, moines érudits, ingénieurs aux prédispositions non-orthodoxes et recherchistes fanatiques, ils servent tous le même but commun : le salut de l'humanité. Sous haute surveillance du diocèse et du conseil, ils servent les ambitions de la cité en trouvant des moyens de tout genre dans le but d'anéantir l'Éther. Technologies, études des pouvoirs obscures et ingénieries artisanales, l'ordre est le point culminent de la « science » divine et de ses idéaux bien que certains la juge comme non-orthodoxe.
Apostat: Souvent reconnu par le peuple comme quelqu'un ayant renié sa propre foi en décidant de s'afficher comme un affecté des forces magiques, l'apostat malgré son titre en juge tout autrement. Il croit que de par son sacrifice de devenir un martyr, il rend hommage à son dieu en choisissant le chemin ardu et moins rayonnant pour sa réputation. Il met de coté son statut social pour mieux servir son peuple en se souillant volontairement dans des pratiques jugées malsaines. L'apostat s'assure de par ses actions que les autres n'ont pas à en faire de même, leur permettant de demeurer pure et à l'image parfaite de Sol. Il est le détenteur de pouvoirs ou de connaissances jugées hérétiques et les offre au patrimoine afin d’éradiquer le mal. Ultimement, en tant qu'apostats, ces gens ne sont officiellement que surveillés par le conseil et le diocèse afin de ne pas trop faire de remous en publique. Néanmoins, certains apostats de confiance sont parfois utilisés en tandem avec des individues du diocèse afin d'enquêter sur des sujets qui requièrent leurs expertises particulières ou tout simplement leurs pouvoirs destructeurs.
Sacrificium: Dans un ordre où tous sont jugés uniques mais aussi sacrifiables, les sacrificium font parti de ceux qui ont atteint un potentiel non discutable aux yeux du conseil. En dépit de ce potentiel magique qu'ils ont développés, ils sont jugés à la fois comme dangereux mais aussi sans importance lorsqu'il s'agit de leur existence. Ils sont employés à des fins purement martiales et ils en sont conscient, fiers d'offrir leurs vies pour Edolas. Sous haute surveillance dû à leur grand potentiel magique, ils reçoivent leurs ordres par intérim du diocèse de l'astre afin d'acheminer plusieurs missions périlleuses en lien avec l'extérieur. Qu'ils soient employés comme bouclier en cas d'un déraillement lors d'une discussion diplomatique vouée à l'échec ou simplement afin d'égaliser les chances lors d'escarmouches contres des utilisateurs de la magie profane, ces individues connaissent leur rôle aussi triste puisse-t-il être. Les Sacrificiums trouvent souvent leur place dans des situations où un sacrifice doit être fait pour le grand besoin de l'humanité et reconnaissent que leur vie est employée à des fins plus grandes que leur propre existence.
Malus Sanguis: Adeptes d'arts occultes, de connaissances interdites et créateurs d'inventions hérétiques. Ils sont ceux qui en connaissent trop sur le nouveau monde et qui se doivent de garder ces connaissances hors de portée du peuple pour protéger les âmes des innocents de cette corruption. Âmes perdues et brouillées par la mana et ses particules relâchées jadis par la présence de l'Éther, ils utilisent son potentiel afin de connaître leurs ennemies et retourner ce savoir contre eux. Mélangeant magie et inventions, thèses et expériences, ils poussent leur potentiel afin d'en venir à des avancements profitables pour Edolas et utilisables pour le conseil. Lorsqu'ils ne sont pas terrés dans leurs archives, les Malus Sanguis utilisent les frères d'Éthernas et leur connexion avec le monde extérieur pour s'informer lors des rencontres diplomatiques sur touts sujets pouvant pousser leurs recherches vers de nouveaux horizons. Les inquisiteurs font principalement appel à eux dans les rares situations où l'expertise d'un apostat est insuffisante, les rendant nécessaires afin de rapatrier par exemple des évidences délicates et dangereuses qui ne doivent en aucun cas tomber entre les mains de la population.
Les Frères d'Éthernas: Les pages noires d'un temps difficile sont dures à retirer de la mémoire de plusieurs. Encore de nos jours des résidus de la peste d'Éthernas sont visibles alors que des nouveaux nés viennent aux mondes avec des taches grises, stigmates permanents et héréditaires de la maladie d'antan. Ainsi confinés à un quartier pauvre vue la souillure historique qu'ils représentent pour Edolas, ces « impures » reçoivent énormément de sympathies des résidents des bas quartiers. Tant les affligés que ces sympathisants joignent leurs efforts afin de faire de ces quartiers qu'ils ne quitteront jamais un endroit meilleur. Se considérant comme impies ayant de besoin de faire leurs preuves afin d'être reconnu par Sol lui-même, ils s'en remettent à lui et ses diverses facettes au travers des autres dieux pour les aider à expier leurs impuretés et devenir ainsi justes et bons à ses yeux.
Sous l'effigie des frères d'Éthernas, ces individus vivent humblement dans la pauvreté. Ils prennent sur eux de protéger les citoyens, soigner les malades et aider les démunies afin de soutenir leur quartier qui s'est vue avec les années délaissé voir ignoré entièrement par le diocèse. Éprit d'un désir de supporter la Pure tout entière sans distinction de statut, cette troupe de martyrs tente de recevoir l'approbation qu'elle mérite via ses bonnes actions en supportant l'humanité tout entière sans exception. De ce fait, il arrive parfois que le diocèse reconnaît l'utilité des frères et les utilise avec dédain pour des tâches que ses troupes ne daignent pas faire eux-même.
Hospitalier: Les repentants d'un ordre jugé « pénitent » par le statut de naissance de ses membres, qu'il soit attribué de par l'impureté de leurs marques ou par leur pauvreté. Vue de haut même par l'ordre gris, les hospitaliers agissent comme des guérisseurs et protecteurs pour le bas peuple sans se croire au dessus de quiconque. Frères et sœurs ayant renoncés à escalader les échelons sociaux pour soutenir leurs êtres chers de leur patelin natale, ceux-ci prennent sur eux d'offrir au restant de la population mise à l’écart ce dont ils méritent malgré leurs afflictions. En raison du manque de patrouilles et de sécurité allouées par le diocèse, ils font office de la lois dans les ruelles du quartier en rade et amènent les criminels néfastes entre les mains d'un profès. Ces derniers apprécient généralement le geste, souvent suffisamment désespérés d'être remarqué par leurs supérieurs.
Évangéliste: Le monde extérieur est en soit légèrement tabou dans la mentalité des citoyens d'Edolas. Certains prétendent qu'il n'y a rien de bon à tirer de ce dernier outre les ressources et les bribes d'archives dévastées de l'ancien monde, propices à rebâtir ce qui fût jadis détruit. C'est éloignés des doctrines d'isolement du conseil et de ses évêques que les évangélistes naissent avec le désir d'explorer le monde extérieur malgré ses dangers. Ceux ayant non seulement le désir du salut des citoyens de leur quartier mais aussi le désir d'assister ceux dans le besoin au delà d'Edolas. Avec le temps certaines fortes voix ont fait pression auprès du diocèse dans le but même d'entretenir les relations avec les quelques villes extérieurs. Épris d'un désir de protéger leur patrimoine mais aussi curieux de ce qui se trouve en ce nouveau monde, ils sont les délégués des tâches diplomatiques lorsque celles-ci se trouvent à l'ordre du jour. Soutenus par un des prévôts, ils se voient attribués leurs mandats tout dépendant du désir du conseil à entretenir ces dites relations avec les habitants des terres corrompues.
Races:Edolien, Fae'Sindar, Inanimae, Saurian
Population: ---
Dernière édition par Coordinateur Winter le Mer 18 Jan - 22:01, édité 2 fois
Accueil 
Sujet: Cercle de l'Absolu 
