Missive vers Edolas: Pour Skaryss

Ciar'reyna avait remis une missive aux messagers de Nax'Uss en destination de Edolas. Elle ne savait pas très bien comment celle-ci se rendrait, mais s'en remettait au divins.

Citation :

Skarrys,
Celle-ci se voit très songeuse de vos interrogations devant la statue et les divins. Elle n’aime pas se baser sur les interprétations de d’autres pour forger ses idées sur un individus. Mais il est vrai que les divins usent d’autre chose que les mots pour parler. Edolas est cité de foi. Et en son sein, des individus très près de leur dévotion. Ainsi, La Reyne aimerait beaucoup venir échanger sur ses progrès quant à sa propre dévotion aux divins; intrigantes créatures intrigantes.

Si elle se doit à répondre, elle se fait héraut d’hédonisme et de responsabilité. Aucun divin ne porte ce vice et cette vertue. Avidael est fourbe déformeur des concepts d'hédonisme et jamais elle ne suivra les traces de ses complots. L’ultime divine observe avec diligence ses responsabilités reste Dolcea. Rien n’importe que la bonne gestion des âmes, et le roulement rond du monde. Tel est son fardeau, celui de gérer l'existence d’un monde tragique et comique prenant des allures absurdes et incroyables.Ainsi, sa dévotion est pour celle libre de vices et de vertues. Celle responsable d' hier, d'aujourd'hui et de demain. Qui plus est, La Reyne est aimante protectrice de Myrhaïd, qui, pour les desseins et l’affection porté à Dulcea, saura mettre de côté son bien être. Elle, également, respecte sans équivoque le respect de ses devoirs. Ses portfolio ne sont pas source de plus de pouvoir, mais de grandes convictions qu’elle saura alléger Dolcea de ses tracas sans fin, de son fardeau si lourd. Évidemment, La Reyne se voit devoir avouer être fort similaire à La Bête. Ozrin l’enthousiaste joueur, profitant de son existence sans malice, aucune. Celui-ci se sera vu désenchanter, comme La Reyne, et de plus en plus prompt à la haine, la méfiance, la violence… Celle-ci aimerait mieux le comprendre, mais les livres sont bien limités et jamais celle-ci n’aura pu discuter avec un fidèle du protecteur.

Elle voit le bon en Rem’Niir, le mal en Corbus. Elle voit les justifications des pours et des contres de Cerpeus. Elle voit en les divins des êtres imparfaits qui, comme les mortels, existent tant bien que mal tel que prescrit par Dulcea. Elle aimerait en apprendre plus, partager, évoluer avec les esprits d’autres ouverts à la discussion. Skaryss disait qu’en d’autres circonstances, ceux-ci seraient ouverts à discuter. La Reyne demande: Quelles circonstances, et à quand cette rencontre des plus nécessaire?

Bien à celui-ci, et à tous les siens,
La Reyne.